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La vie du groupe


L'ehpad péan de paris améliore la qualité de vie des équipes en formant les aidants

Publié le 07 10 19

A l'occasion de la Journée Nationale des Aidants, Hospimedia s'est rendu dans notre établissement de Péan (Paris 13ème), pour mettre en lumière les actions de formation que propose le Groupe ACPPA à destination des aidants. Retrouvez l'article de Flora Peille, journaliste Hospimedia.

Depuis 2010, la journée nationale des aidants a lieu le 6 octobre. Initié à l'époque par le ministère des Affaires sociales et de la Santé, l'événement permet de promouvoir la reconnaissance des aidants et de mobiliser les institutions et l'opinion. À l'heure où le Gouvernement compte indemniser les aidants (lire notre article), la dixième édition de cette journée permet notamment de mettre en lumière le rôle et la place des aidants au sein des institutions médico-sociales. Dans ce cadre, Hospimedia a choisi de se rendre à l'Ehpad Péan situé au coeur de Paris. La structure qui dépend de l'association Accueil et Confort pour personnes âgées (ACPPA), propose le programme "Aidant en Ehpad : quelle est ma place ?". Il s'agit d'une session de formations dédiée aux aidants et composée de sept ateliers de deux heures.

Une ambiance bienveillante

L'établissement se trouve dans une rue étroite du 13 arrondissement de la capitale. En poussant la porte, les locaux spacieux et lumineux offrent une belle pièce de vie. Les longues baies vitrées donnent sur l'extérieur, sur une crèche située au centre de l'Ehpad, des d'arbres, des jardinières et des tables de jardins . "Ici, certains aidants jardinent", indique Romy Lasserre-Saint-Maurice, directrice de l'établissement. La rencontre avec plusieurs animateurs d'ateliers de formations d'aidants se fait dans une pièce attenante au réfectoire principal. Ses murs sont orangés et bordés de tableaux. Au centre, des tables offrent une collation et autour, plusieurs aidants semblent détendus, le sourire aux lèvres. Ce jour-là, ils sont accompagnés par Badra Hamadi, cadre de santé et par une infirmière coordinatrice.

Des ateliers adaptés au choc fréquent des familles

Les différentes sessions sont donc organisées en fin de journée pour s'adapter aux personnes qui travaillent — dans un contexte où la France recense environ 270 000 proches aidants salariés. La question de leur positionnement ressort. "64% des aidants ne savent pas qu'ils le sont", explique Badra Hamadi, avant de poursuivre "que les aidants ont tendance à s'oublier, ils ne se questionnent pas en aidant leur proche, et le vivent comme un devoir". Le cadre de santé propose donc à des aidants de familles qui arrivent au terme du maintien à domicile, de participer aux ateliers afin de décrypter l'Ehpad. La directrice de l'établissement précise que les différentes séquences de formation ont des objets différents. Nutrition, maladies neuro évolutives, pédagogie sur la loi Leonetti (voir notre article)... Chaque atelier est animé par des professionnels spécifiques. EnFrance, 50% des aidants rentrent en établissement par le biais de l'hôpital. "Ces ateliers devraient être obligatoires", déclare une proche aidante.

L'aidant intègre le parcours de vie de son proche

"C'est souvent très brutal, très violent. Les choses ne sont pas toujours expliquées à l'hôpital. J'ai fait tout ce que j'ai pu pour lui, jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Et ce n'était pas naturel", confie-t-elle. Elle affirme également que connaître l'organisation de la vie en Ehpad change tout. Selon elle, appréhender permet de comprendre que ce n'est pas un lieu de continuité de l'hôpital, ce n'est pas seulement la fin de quelque chose, c'est aussi un renouveau. L'information changerait la perception d'une entrée, notamment sur le plan de la culpabilité, présente chez tous les proches aidants. "Avec ce type de programme, l'aidant comprend qu'il est un vrai partenaire qui travaille en lien avec l'établissement et cela est positif car il peut se sentir dépossédé lorsque son proche déménage", souligne la cadre de santé. Elle précise également que le dialogue permet de libérer des énergies qui pouvaient, auparavant, se matérialiser par des conflits. "Cela favorise la qualité de vie des équipes. Les soignants souffrent souvent car ils n'ont pas les clés pour rassurer les familles."

L'information lève le fréquent sentiment de culpabilité

La directrice confirme et affirme : "La famille doit avoir toute sa place." Pour deux soeurs, dont le père de 98 ans vit au sein de l'établissement Péan depuis cet été, il était impensable pour elles qu'il puisse quitter son domicile. "Nous avions organisé son projet de vie avec des aidants à domicile jusqu'à ce que ce ne soit plus possible. Nous avions installé un système de vidéosurveillance pour les moments où il était seul, notamment la nuit", racontent-elles. "Depuis qu'il vit en établissement, nous n'avons aucun regret, il est en sécurité. Cela nous permet notamment de bénéficier de solutions immédiates grâce à la coordination des équipes." La directrice répète donc que les sessions doivent être ouvertes aux personnes en amont de l'entrée d'un proche en établissement : "Informer est essentiel pour nous, puisqu'il s'agit de renforcer le lien entre les équipes et les familles."

La sérénité du personnel soignant

Et Romy Lasserre-Saint-Maurice d'expliquer : "Le réel enjeu, c'est la qualité de vie au travail." Elle répertorie deux effets sur les salariés. Au départ, le regard des professionnels sur les familles a changé car ils avaient souvent des a priori. Le regard plus spécifique sur les aidants, également. La régulation est naturelle. Selon la directrice, "cela enlève l'agressivité, c'est formidable. Les équipes retrouvent du sens à leur vie professionnelle et ont un autre regard sur leur métier." Une personne informée aura de l'empathie avec les équipes. L'aidant n'aura plus la volonté de vouloir tout maîtriser, comme c'est parfois le cas. Pierre-Yves Guiavarch, directeur général de l'ACPPA, souhaite promouvoir le programme à l'ensemble des Ehpad du groupe. "Tout cela mobilise des professionnels. Cela a un coût et être un institut facilite la collecte de fonds", indique-t-il. L'enjeu de financement est énorme. Les cibles visées sont les particuliers mais également les entreprises qui pourraient intégrer la budgétisation dans leur projet de responsabilité sociale des entreprises (RSE).

Les financements nécessaires

La communication pourrait notamment se faire avec la médecine de ville pour une approche territoriale. "Pour qu'il y ait un réel impact de financement, l'appui de la communication scientifique est nécessaire. Pour être déterminante, elle doit être chiffrée pour enlever toute forme d'interprétations. On attend donc des textes", explique Pierre-Yves Guiavarch à Hospimedia. Le groupe propose des ateliers à Paris et en région Auvergne-Rhône-Alpes depuis deux ans. La directrice parle de disparités entre les régions. "La sémantique est importante", révèle-t-elle. L'adaptation et la projection sur les territoires seraient inhérentes à la réussite d'une session de formation d'aidants. Sur les lieux où les sessions sont ouvertes, un tiers des aidants se rend disponible pour les ateliers. "La meilleure communication pour les convaincre, c'est la parole d'anciens aidants. À Paris, l'ARS et la Caisse nationale d'assurance vieillesse ont financé le programme ainsi qu'une vidéo depuis 2016", précise-t-elle.

Visite de l'établissement de Péan de Mme la Députée de la 2nde circonscription de Seine Maritime Annie Vidal, ainsi que de Florence Arnaiz-Maumé Broussy, déléguée générale du SYNERPA, aux côtés de Pierre-Yves GUIAVARCH, Directeur Général du Groupe ACPPA et de Romy LASSERRE, Directrice de l'établissement, à l'occasion de la Journée Nationale des Aidants.

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Un moment de répit à la villa lumière

Publié le 23 09 19

Pour accompagner les aidants sur le territoire de la Métropole de Lyon, le Groupe ACPPA ouvre gratuitement son accueil de jour « La Villa Lumière » (Lyon 3ème), les samedis, de 10h à 16h, pour répondre à un double objectif :

  • proposer un moment de répit aux aidants le week-end
  • accueillir, informer, écouter les aidants non disponibles en semaine

Suivez le programme !

Programme villa Lumière

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Familles et proches : "quelle place en ehpad ?"

Publié le 16 09 19

« Quelle place en EHPAD ? » est un programme de formation, d’information et de réflexion pour les aidants familiaux des résidents en EHPAD, soutenu et financé par l'Agence Régionale de Santé Auvergne-Rhône-Alpes.

Ces ateliers sont co-animés par des professionnels de la gérontologie. Ce programme, composé de 6 ateliers, est proposé à l’ensemble des familles ayant un proche en EHPAD. Il est gratuit et ouvert à tous.

Les premiers retours des aidants sur les apports du programme sont très positifs. Les résultats suggèrent qu’offrir aux aidants un espace de cheminement, faire évoluer leur regard sur la maladie et sur la relation d’aide, permet une redéfinition de leur rôle d’aidant au sein d'un EHPAD et une meilleure communication avec les soignants.

Retrouvez ci-dessous le programme des prochaines thématiques proposés à l'EHPAD La vérandine :

Inscription obligatoire. Engagement souhaitable aux 6 ateliers. Renseignements : Valérie Françon - Tél : 04 69 16 60 16 / Mail : v.francon@acppa.fr

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Interview

Publié le 06 09 19

Dans une interview accordée à Hospimedia, Pierre-Yves Guiavarch et Catherine Alvan, Directeur Général et Directrice Bien-Etre et Soin présentent deux expérimentations menées au sein du Groupe ACPPA : la présence d'infirmiers de nuit en établissement et la création d'un centre de service partagé RH au siège. 

Hospimedia : "Après une prise de fonction en mars 2018, quel regard portez-vous sur vos premiers mois de directeur relatés notamment dans le rapport d'activité qui vient d'être diffusé ?

Pierre-Yves Guiavarch : Pour l'ACPPA*, ce fut une année de consolidation de ses objectifs avec l'élaboration de son projet associatif Cap 2021. Nous sommes actuellement entrés dans la phase de mise en oeuvre de nos différents projets. En 2018, par exemple, une dizaine d'expérimentations d'infirmier de nuit ont été menées par l'ACPPA. Ces expérimentations se sont déployées dans le cadre des appels à projets des ARS où le groupe est implanté. Il s'agit d'une question majeure abordée dans le cadre des concertations sur le grand âge et du rapport de Dominique Libault à travers la problématique des soins en période nocturne. Outre les réponses aux appels à projets réalisés dans différentes configurations, l'ACPPA a déjà mis en place il y a déjà près de neuf ans des infirmiers de nuit dans trois établissements. Ce qui nous confère en la matière une certaine expérience.

Catherine Alvan : Cela nous a confirmé quelques constats antérieurs. La présence d'infirmiers de nuit dans ces établissements a notamment permis d'améliorer les soins la nuit, de sécuriser les résidents et les professionnels... Dès 2015-2016, des établissements du groupe ont participé à une telle expérimentation menées sur plusieurs Ehpad dans le Nord de la France par exemple. Nous avons aussi collaboré en Île-de France à une expérimentation d'infirmier de nuit mutualisé venant d'un service de soins infirmiers à domicile (Ssiad), elle a été mise à disposition la nuit des établissements pour personnes âgées dépendantes partenaires de l'expérience. En 2018, le groupe a répondu à de nouveaux appels à projets avec desinfirmiers venant d'hôpitaux de proximité ou des professionnels libéraux. Ces expérimentations peuvent aussi prendre différentes formes gardes ou astreintes. L'ACPPA peut alors être porteur du projet ou partenaire. Par ailleurs, un des premiers objectifs de ces expérimentations était de diminuer le nombre des hospitalisations des résidents. La présence d'infirmier de nuit, en astreinte ou de garde rassure le personnel, c'est ce qui ressort des enquêtes de satisfaction que nous avons réalisées auprès du personnel et quel que soit le modèle choisi.

"Il me paraît difficile de construire à long terme le dispositif en ayant recours à un infirmiertraditionnellement de jour dans l'établissement et qui serait mis en astreinte la nuit. Cela diminuerait le nombre d'infirmiers le jour et ce n'est pas souhaitable". Catherine Alvan.

H. : Comment pérenniser le dispositif ?

C. A. : Aujourd'hui, au titre de directeur médical, il me paraît difficile de construire à long terme le dispositif en ayant recours àun infirmier traditionnellement de jour dans l'établissement et qui serait mis en astreinte la nuit. Cela diminuerait le nombred'infirmiers le jour et ce n'est pas souhaitable. Pour moi, la formule à privilégier est la mise en place d'une garde infirmière partagée entre plusieurs établissements.

P.-Y. G. : La pérennité du dispositif passe naturellement par son financement. Il reste pour l'instant au stade d'expérimentation. Et c'est la définition d'un mode de financement qui permettra de stabiliser les organisations. D'autres enjeux se posent comme l'attractivité et la fidélisation des personnels du secteur médico-social.

"Il a aussi été observé que le responsable de pôle hébergement était en quelque sorte accaparé deplus en plus par la fonction paie qui nécessite une expertise toujours plus soutenue." Pierre-Yves Guiavarch.

H. : Parmi les problématiques des ressources humaines, il est également question dans le dernier rapport d'activité dugroupe la création d'un centre de services partagés. Pourquoi ce projet ?

P.-Y. G. : Il répond aux conclusions d'un audit réalisé à l'ACPPA sur la pénibilité réalisée il y a quelques années. Les responsables des pôles hébergement avaient exprimé certaines difficultés, déplorant notamment que leur charge de travail avait fortement augmenté avec la mise en place notamment de la déclaration sociale nominative (DSN). Un important turn-over a été observé. Par ailleurs, le temps passé par le responsable des pôles hébergement pour gérer les plannings et les remplacements a augmenté. Il a aussi été observé que le responsable de pôle hébergement était en quelque sorte accaparéde plus en plus par la fonction paie qui nécessite une expertise toujours plus soutenue.Fort de ces constats le groupe a décidé de retenir dans les priorités de son projet associatif la refonte de son organisation des ressources humaines. Il ne s'agit pas pour autant de mutualiser la fonction de responsable d'hébergement en la centralisant au niveau du siège mais bien de maintenir les effectifs en question dans les établissements tout en centralisant la composante paie (arrêt de travail, gestion des plannings) au niveau du siège dans un centre de services partagés.

H : Comment va s'organiser ce nouveau service ?

P.-Y. G. : Ce centre de service sera définitivement en place en 2021. Aujourd'hui, nous sommes en cours de mise en oeuvre. Nous avons commencé à regrouper un certain nombre d'éléments comme les arrêts de travail et les plannings pour réaliser un modèle pilote sur deux établissements. D'ici la fin de l'année d'autres structures devraient entrer dans le dispositif avant son déploiement. Des évaluations régulières du projet auront lieu au cours de sa mise en oeuvre. L'objectif est de diminuer la charge de travail des responsables des pôles hébergement pour redéfinir leurs fonctions auprès des résidents et des familles.

H. : Depuis plusieurs années, l'ACPPA mène un projet d'élaboration d'une cartographie des risques professionnels.Où en est ce travail ?

P.-Y. G. : Cette réflexion sur le management par les risques est un travail qui nécessite du temps. Nous avons aujourd'hui une certaine vision de l'ensemble des risques et des barrières à mettre en place. Le processus de management des risques à pour objectif d'accompagner en établissement cette vision.

H. : Le secteur est en attente d'une nouvelle loi, qu'en attendez-vous ?

P.-Y. G. : Tout d'abord la concrétisation et une priorisation des préconisations du rapport de Dominique Libault, salué par les professionnels. Des réponses sont aussi attendues concernant la mise en place des moyens nécessaires pour rendre les métiers du grand âge plus attractifs. Un nouveau regard de la société sur les professionnels du grand âge est aussi souhaitable."

Propos recueillis par Lydie Watremetz, journaliste à Hospimedia.

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Convention du personnel 2019

Publié le 08 07 19

Organisée tous les trois ans, la Convention du Personnel est une tradition au sein du Groupe ACPPA !

Après une soirée « chic détail choc » en 2016, la convention 2019 était placée sous le signe du glamour avec une soirée de gala et son indissociable « Tapis Rouge ! »

Le jeudi 27 juin dernier, plus de 900 personnes des 4 coins de la France étaient présentes ainsi au Matmut Stadium du Lou Rugby à Lyon, pour partager tous ensemble un moment privilégié, festif et fédérateur !

À cette occasion, un Appel aux Talents avait été organisé en amont dans les établissements et services du Groupe, sous deux catégories :

  • talent artistique (danse, humour, musique, chant, arts du cirque…)
  • pratique professionnelle innovante (bien-être au travail, bientraitance, développement durable, animations, soins…)

Sur 19 candidatures reçues (10 pratiques innovantes et 9 talents artistiques), 5 ont été retenues par un jury de sélection (composé des Directions RH, Communication, Exploitation, Bien-être et Soin).

Les candidats sélectionnés ont pu se produire en direct sur scène, et chacun des talents a reçu des mains du Directeur Général, Pierre-Yves Guiavarch, un trophée « Convention 2019 », accompagné d’une box en cadeau. Quant au grand gagnant de la soirée, il a remporté le trophée « Jean Palluy » pour sa belle prestation vocale relevée à l’applaudimètre !

 

Encore un grand MERCI à tous les salariés présents et rendez-vous dans 3 ans !

Talents de la convention du personnel 2019

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Pose de 1ère pierre à saint-bonnet-de-mure

Publié le 08 07 19

Mercredi 26 juin, le Groupe Associatif ACPPA et l’Opac du Rhône ont posé la première pierre de l’EHPAD l’Accueil, en présence de Christophe Guilloteau, Président du Département du Rhône et Président de l'Opac du Rhône, Paul-Henri Chapuy, président du Groupe ACPPA, Jean-Pierre Jourdain, maire de Saint-Bonnet-de-Mure et président du SIVOM, Pierre-Yves Guiavarch, directeur général du Groupe ACPPA et Michel Micoulaz, directeur général de l’Opac du Rhône. 

Ouvert en 1986, sous la propriété du SIVOM, l’EHPAD L’Accueil accueille 84 résidents. L’établissement est repris en gestion par l’ACPPA en 2012.Pour assurer le confort, la sécurité et le bien-être des résidents accueillis, et un cadre de travail agréable pour les salariés, le Groupe ACPPA décide de reconstruire un nouvel EHPAD sur la même commune, à Saint-Bonnet-de-Mûre (69). Un projet de reconstruction qui s’inscrit pleinement dans son projet Associatif «  CAP 2021 ».

En 2017, l’Opac du Rhône est sollicité pour assurer la maîtrise d’ouvrage de cette nouvelle opération en tant que propriétaire bailleur.  Ce projet de reconstruction comportera : 84 lits d’hébergement permanent, dont une unité protégée de 14 lits pour dépendants psychiques (UPDP) dédiée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées.Cette offre sera complétée par la création d’une Résidence Autonomie de 40 logements pour 55 places (T1bis + T2), bâtie sur la même parcelle.

Ces deux structures offriront un parcours de vie de la personne âgée en développant et en organisant différentes activités et en favorisant les  partenariats avec l’extérieur, la filière soins, mais également  les structures sociales et médico-sociales du territoire.

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